Accueil Mes livres Elliot super héros
Elliot est un petit garçon de dix ans ordinaire. Trés ordinaire : deux bras, deux jambes, le tout un peu trop court, ce qui fait de lui l’élève le plus petit de sa classe de Cm2. Elliot fait toujours ce qu’il faut, comme il faut , quand il faut, donc son institutrice Mme Motul l’adore et le voilà tout désigné pour être "fayot de service", le "nabot", le chouchou de la maîtresse et autres tendresses dont l’affublent ses camarades de classe pas franchement bien attentionnés.
Pourtant tout va basculer le jour où Elliot décide de shooter dans un innocent ballon de football oublié dans la cour et fracasse la fenêtre de la salle de classe du directeur. Retenue pour l’élève modèle ! C’est en compagnie de Robin, le beau gosse de la classe et de Gaspard, serial visiteur de toilettes des filles qu’Elliot va découvrir les joies de la copie... Jusqu’au moment où une explosion aveugle nos trois repris de justice changeant à jamais leurs destins.
Une fois rentré chez lui, Elliot découvre en effet que ce flash ressemble étrangement à celui qui frappe les héros de la série "Broken Arms"- la préférée de sa grande sœur Louna- et qui les laisse tous pleins de super-pouvoirs. Aucun doute à avoir, Elliot a lui aussi hérité d’un super -pouvoir. Et pas n’importe lequel : maintenant, il sait parler chat !
(Source Librairies Comptines http://librairiecomptines.hautetfort.com/archive/2015/01/06/elliot-super-heros-5527596.html)
Un grand blanc, après ça déménage. Et la sensation d’avoir déjà tout dit. Et puis il y a eu la rencontre d’une enseignante (Madame Motul existe, je l’ai rencontrée !) créatrice de boule de neige dans son école. Ses élèves savaient où me trouver, les parents aussi. Et ils en voulaient encore, des histoires !
Je leur devais bien ça. Un livre juste pour rire. Et qui fut en plus un vrai bonheur d’écriture.
Même que ce sera cadeau pour deux autres achats dans l’excellente collection Dacodac au Rouergue (Dont Elliot vient de Mars par exemple !)
Aujourd’hui c’est lundi. Il fait moche il fait gris.
Il m’a trotté dans la tête toute la semaine. Et au moment de le retrouver, j’ai la trouille. Je tourne autour du pot, je prends des photos.
C’est pas gagné d’avance. Un personnage qui n’a pas encore de prénom. Un titre. Quatre pages. Il doit m’en rester environ 453 à écrire. ça en fait beaucoup, des lundis moches et gris.
Allez je m’y colle.
